Dans Stéréo, Philippe Decouflé mêle pop et disco dans des tableaux de danse, de cirque et de théâtre.

Un spectacle hybride qui puise son énergie explosive dans la jeunesse de ses interprètes.

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Depuis les années 1980, Philippe Decouflé fait partie des personnalités de premier plan de la scène contemporaine. Son esprit punk et rock’n’roll reste intact. Sa marque de fabrique : l’humour et la maîtrise de ses danseurs, acrobates et comédiens. Ils chantent, jouent d’un instrument et endossent même des rôles techniques.

Déboulant dans des sapes folles, strass, paillettes, minijupes à plis et lunettes à losanges, les dix performeurs brillent, éblouissent, détonnent, sans jamais se prendre au sérieux. Sur l’estrade, la musique envoie : guitare, batterie, basse. Un concert à sketchs allant de la musique populaire à l’underground.

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Mise en scène et chorégraphie Philippe Decouflé, Assistante chorégraphique Alexandra Naudet, Avec Violette Wanty, Aurélien Oudot, Olivia Lindon, Eléa Ha Minh Tay, Vladimir Duparc, Pierre Boileau Sanchez, Baptiste Allaert, Musicien·nes Arthur Satàn (guitare), Louise Decouflé (basse), Romain Boutin (batterie), Avec la participation exceptionnelle de David Ghetto, Lumière et régie générale Begoña Garcia Navas, Décor Jean Rabasse assisté d’Aurélia Michelin, Création costumes Philippe Guillotel assisté de Charlotte Coffinet, Catherine Coustère, Jean Malo, Stylisme Sabine Siegwalt, Anatole Badiali, Régie lumière Grégory Vanheulle, Chloé Bouju (en alternance), Régie plateau Léon Bony, Régie plateau et costumes Anatole Badiali, Régie son Pascal Mondaz, Construction Atelier Devineau (décor), Guillaume Troublé (accessoires), Musiques originales Arthur Satàn, Louise Decouflé, Romain Boutin - Et aussi Oh Darling, The Beatles ; In Every Dream Home a Heartache, Roxy Music ; Tomorrow Never Knows, The Beatles ; Get It On, T-Rex ; Surf’in USA, The Beach Boys ; Gut Feeling, Devo ; Long Slow Goodbye, Queens of the Stone Age

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